ROBIN est né à la Réunion, dans l’Océan Indien. Il a grandi dans le quartier du Chaudron à Saint-Denis, et c’est le hasard qui l’a amené en France métropolitaine pendant son adolescence. À 21 ans, il achète sa première batterie, alors qu’il ne sait pas du tout en jouer. C’est grâce à sa volonté et à d’innombrables heures de travail qu’il a pu entamer une carrière de batteur professionnel quelques années plus tard. Pendant longtemps, il a été musicien de studio, ainsi que sur scène, rejoignant divers groupes orientés surtout vers le rock. Plus tard, il a joué avec des groupes de = reggae, de funk et de musique du monde.
En 1997, après 15 ans passés en Bretagne, dont il garde un très bon souvenir notamment grâce à l’accueil chaleureux qu’il y a reçu, Robin s’installe à Paris, décidé à se consacrer à 100% à la musique. C’est désormais son métier à plein temps, et il anime aussi des ateliers de percussions et de batterie. Parallèlement à son travail de musicien, Robin a commencé à écrire ses premières chansons, nourrissant un désir irrésistible de faire un jour sa propre musique.
En 2003, encouragé par des professionnels qui avaient écouté ses compositions, il décide de “se jeter à l’eau” et de se lancer dans une carrière solo. Il enregistre son premier album “Tradition” en 2003, un album autoproduit qui réussit à joindre le Maloya et l’Afro Rock en créole, et qui décrit avec amour la richesse de la Réunion.
Quatre ans plus tard sort “Vivr’ici” (Living here), un deuxième album autop
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ROBIN est né à la Réunion, dans l’Océan Indien. Il a grandi dans le quartier du Chaudron à Saint-Denis, et c’est le hasard qui l’a amené en France métropolitaine pendant son adolescence. À 21 ans, il achète sa première batterie, alors qu’il ne sait pas du tout en jouer. C’est grâce à sa volonté et à d’innombrables heures de travail qu’il a pu entamer une carrière de batteur professionnel quelques années plus tard. Pendant longtemps, il a été musicien de studio, ainsi que sur scène, rejoignant divers groupes orientés surtout vers le rock. Plus tard, il a joué avec des groupes de = reggae, de funk et de musique du monde.
En 1997, après 15 ans passés en Bretagne, dont il garde un très bon souvenir notamment grâce à l’accueil chaleureux qu’il y a reçu, Robin s’installe à Paris, décidé à se consacrer à 100% à la musique. C’est désormais son métier à plein temps, et il anime aussi des ateliers de percussions et de batterie. Parallèlement à son travail de musicien, Robin a commencé à écrire ses premières chansons, nourrissant un désir irrésistible de faire un jour sa propre musique.
En 2003, encouragé par des professionnels qui avaient écouté ses compositions, il décide de “se jeter à l’eau” et de se lancer dans une carrière solo. Il enregistre son premier album “Tradition” en 2003, un album autoproduit qui réussit à joindre le Maloya et l’Afro Rock en créole, et qui décrit avec amour la richesse de la Réunion.
Quatre ans plus tard sort “Vivr’ici” (Living here), un deuxième album autoproduit disponible dans tous les bons magasins de disques de l’île et qui a reçu le soutien du Conseil régional. Un album riche et complexe, où des éléments de folk et de maloya côtoient des sonorités empruntées à l’Afrique. L’album est beaucoup plus acoustique que le premier, et offre une plus grande unité entre les différents instruments : basse, accordéon, guitare acoustique et chant, avec une touche d’harmonica folk. Ensemble, ils discutent poétiquement de l’amour, des origines et des traditions réunionnaises, du bonheur et du respect des autres.
Les paroles burkinabées chantées par Ousmenez sur le morceau “Iyéké”, ainsi que les belles parties de kora de Solo Cissokho sur le morceau “Africa”, réassocient le maloya à ses racines africaines. C’est une sorte de maloya métissé auquel Robin rend un hommage permanent, en commençant par les titres de ses chansons “Le Maloya”, “Gramoun Lele”, “Ecoute le Maloya” ou “Maloya mon frère”. Robin n’hésite pas à exprimer la part inconsciente de sa créativité en incluant des rêves dans les paroles. “Iyéké” est un morceau écrit dans une langue “inventée”. La place particulière accordée à la fantaisie dans le processus de création et d’écriture, semble garantir à Robin une matière inépuisable pour des dizaines de chansons à venir.